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Réflexologie plantaire : Partez du bon pied !

Réflexologie plantaire : Partez du bon pied !

 

 

Consultez l’article de Audrey Rollet pour le magazine Ma Santé (magazine de santé Auvergne-Rhône-Alpes) écrit sur la base d’un soin réalisé au cabinet.

Qu’est-ce que la réflexologie et comment trouver un praticien qualifié ?

Retrouvez l’article en cliquant ici !

© Copyright – Maxime MARGUERITTE 2018

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L’endométriose et la réflexologie

L’endométriose et la réflexologie

 

Qu’est-ce que l’endométriose ?

L’endométriose est une maladie qui toucherait environ 10% de la population féminine.

Elle se définit par la présence de fragments de muqueuse utérine (endomètre) ou « tissu endométrial » en dehors de l’utérus (cf. endofrance).

Ces fragments sont le plus souvent situés sur les organes tels que l’intestin, les reins, la vessie mais également sur les ovaires ou le rectum et plus rarement (heureusement) dans les poumons et le cerveau.

Quelles sont les symptômes possibles ?

Les différents symptômes (selon des études entre 50 à 91% des femmes) sont :

  •      – Règles douloureuses (dysménorrhée)
  •      – Douleur lors des rapports sexuels (dyspareunie)
  •      – Douleurs pelviennes fréquentes
  •      – Défécation douloureuse
  •      – Difficultés pour uriner
  •      – Douleurs abdominales
  •      – Règles très abondantes

Y a-t-il des facteurs favorisant l’endométriose ?

Cette maladie n’est pas encore totalement comprise par le corps médical, cependant on sait qu’elle se développe en présence de plusieurs facteurs concomitants (multifactoriels).

Selon les chercheurs, elle surviendrait principalement durant les règles car des fragments d’endomètre remonteraient dans le pelvis en passant par les trompes de Fallope (« menstruations rétrogrades »). Ces morceaux de muqueuse se fixeraient alors en dehors de la cavité utérine, sur le péritoine ou les organes.

D’autres facteurs favorisant l’endométriose ont été notés :

  •      – Problèmes mécaniques qui peuvent obstruer l’appareil génital (ex. : anomalies du col utérin)
  •      – Des facteurs hormonaux (les lésions étant hormono-dépendantes)
  •      – Une réponse immunitaire et inflammatoire inadéquate de l’organisme, entraînant le développement des lésions
  •      – Une prédisposition génétique
  •      – Les femmes qui n’ont pas eu d’enfant
  •      – Les femmes qui ont des cycles menstruels courts et des règles abondantes

Comment la réflexologie peut aider et vous accompagner ?

La réflexologie vous aidera pour mieux gérer les douleurs au moment des règles, améliorer le transit mais aussi à réduire le stress et la fatigue que la maladie peut engendrer.

Elle vous fera sortir du cercle de la douleur de l’endométriose, en dénouant les tensions de la zone pelvienne, du bassin et du bas du dos et en décongestionnant le système digestif, apportant du bien-être dans votre ventre.

Lors de la première séance de réflexologie, nous travaillerons donc en priorité sur le système génital complet ainsi que toute la ceinture pelvienne et le système nerveux. Des zones réflexes seront également ajoutées et traitées en fonction de vos symptômes personnels (système digestif, cruralgie etc…).

L’endométriose touche énormément de femmes mais reste peu connue.

Pour vous ou votre amie, n’hésitez pas à casser ce cercle de douleur avec la réflexologie.

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L’hypersensibilité et la réflexologie

L’hypersensibilité et la réflexologie

 

Qu’est-ce que l’hypersensibilité ?

L’hypersensibilité peut, de façon simplifiée, se définir comme le fait d‘avoir une sensibilité plus haute que la moyenne et de façon exagérée. Cependant, le mot hypersensibilité est souvent utilisé tel quel alors qu’il peut avoir différentes causes possibles comme les sons, le toucher, la lumière, les ondes ou encore le côté émotionnelle/empathique. C’est de cette dernière cause dont nous allons parler.

La chercheuse Elaine N. Aron s’est penchée sur le sujet au début des années 90 pour lui consacrer de nombreux ouvrages tel que « Ces gens qui ont peur d’avoir peur : mieux comprendre l’hypersensibilité ». Elle met en évidence que l’hypersensibilité peut être autant un atout qu’une contrainte et que dans la société, les personnes hypersensibles peuvent être mises à l’écart. Ce phénomène touche une personne sur cinq

Que ce soit un atout ou une barrière, nous allons voir quels points peuvent être communs chez des personnes hypersensibles/hyperémotives afin de décrypter si oui ou non l’on est hypersensible/hyperémotif.

Quelles sont les manifestations dues à cette sensibilité émotionnelle accrue ?

Plusieurs manifestations de l’hyperémotivité peuvent être décrites comme :

  •      – Hyperréactivité à des stimuli qui ne font pas réagir la plupart des personnes
  •      – Une faible capacité à critiquer ces émotions
  •      – Une émotion trop forte et/ou trop longue non adaptée à la situation
  •      – Tendance à amplifier les ressentis
  •      – Attaques de panique de temps en temps
  •      – Fragilité face à toute difficulté ou cas imprévus
  •      – Débordement émotionnel face à des situations génératrices d’émotion, y compris des émotions agréables

Comment au niveau cognitif cela peut se traduire ?

  •      – Une faculté à mémoriser avec beaucoup de précision son propre vécu
  •      – Va souvent détailler ses propres expériences
  •      – Une capacité à rire, pleurer ou être anxieux plus élevée que la moyenne
  •      – Une tendance à l’introspection
  •      – Ruminations fréquentes
  •      – Une mémorisation trop précise des émotions négatives et une difficulté à passer à autre chose.

Quelles en sont les causes ?

L’hypersensibilité trouve sa source dans de nombreuses causes.

C’est pour cela qu’il faut avant tout qu’un diagnostic soit posé afin d’identifier si cela peut provenir d’une pathologie anatomique/physiologique et/ou psychique.

Etre hypersensible ne vient pas forcément d’une pathologie cela peut être naturelle. Deux personnes hypersensibles peuvent présenter cette caractéristique pour des raisons totalement différentes.

En effet, l’hypersensibilité n’est pas un diagnostic, c’est une caractéristique qui doit s’interpréter dans un cadre plus large, en tenant compte de la personne dans sa globalité.

Comment la réflexologie peut aider et accompagner ?

De par cet afflux d’émotions et de pensées accrues, on met en place un schéma de séance réflexologique en mettant l’accent sur le système nerveux central et autonome afin de calmer cérébralement la personne. A force de se faire traverser sans cesse par des pensées, l’encéphale se retrouve surchargé et la personne n’arrive plus à faire de « pause ».

En complément, on ajoute le système cardio-vasculaire ainsi que le système respiratoire (diaphragme et poumons) pour augmenter l’effet détente et le relâchement des fonctions basiques du corps.

Cela peut être un atout pour certains ou une gêne pour d’autres mais dans tous les cas cela prend beaucoup d’énergie. Le corps comme n’importe quelle machine a besoin de repos et de soutien donc n’hésitez pas à vous faire accompagner par la réflexologie.

Le corps et l’esprit sont inséparables alors aider l’un c’est aussi aider l’autre. 

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La lombalgie et la réflexologie

La lombalgie et la réflexologie

 

Qu’est-ce qu’une lombalgie ?

De façon générale la lombalgie, appelée communément mal de dos ou lumbago, est une douleur située en bas du dos au niveau des vertèbres lombaires. Lors d’une crise de lombalgie, on ressent un sentiment de blocage partiel ou total et/ou des difficultés pour se mouvoir.

En médecine, on parle de lombalgie commune par opposition aux lombalgies spécifiques, qui sont liées à des maladies sous-jacentes telles qu’une scoliose, une spondylarthrite ankylosante etc…

Plus spécifiquement, une lombalgie peut devenir aiguë lorsqu’elle présente les mêmes symptômes qu’un lumbago sauf qu’il n’y a pas de blocages (moins impressionnant mais plus sérieux qu’un lumbago).

Enfin lorsqu’une douleur (ou sensation type brûlure, fourmillement, perte de sensibilité etc…) se fait aussi ressentir dans les membres inférieurs : c’est une lombosciatique (atteinte des nerfs L5 S1) ou une lombo-cruralgie (atteinte des nerfs L3 ou L4).

Pourquoi ça arrive ?

Cette douleur lombaire peut avoir des origines multiples. On retrouve généralement un effort excessif ou un mouvement brutal (donc oui certains mouvements peuvent déclencher un lumbago). Mais en réalité la majorité des lombalgies se déclenche sans aucun mouvement spécifique (C’est nul je sais…).

Quels sont les facteurs favorisant la lombalgie ?

Malgré le fait qu’elle peut être déclenchée sans mouvement spécifique, il reste quand même plusieurs causes qui peuvent favoriser l’apparition d’une lombalgie.

  • Les contraintes liées à une activité professionnelle ou de loisir :
  1. De mauvaises postures (postures pénibles, station assise prolongée)
  2. Des chutes
  3. Des vibrations du corps entier
  4. Une activité physique excessive, déséquilibrée ou statique
  5. L’inactivité physique
  • Le manque d’activité ou la sédentarité :

Avec l’absence d’activité, les muscles se relâchent et ne sont plus assez forts pour jouer leur rôle donc des douleurs surviennent.

  • L’âge :

Les structures anatomiques vieillissantes auxquelles on ajoute une sédentarisation plus forte engendrent plus facilement des lombalgies.

Comment la réflexologie peut aider et accompagner ?

En réflexologie nous allons chercher à accompagner la guérison d’une lombalgie en travaillant principalement sur deux systèmes corporels qui sont :

  1. Le système nerveux :
  • – Diminution des influx de la douleur
  • – Travail sur la ZR de la sciatique (interne et externe) et Nerf crural
  • – Diminution du stress engendré par l’inconfort

2. Le système locomoteur (musculo-tendineux) :

  • – Délier et débloquer toute la ceinture pelvienne en priorité puis le reste du corps.

Il faudra répéter ce schéma de séance de façon rapprochée pour les 2 premières séances et ensuite espacer en fonction de l’évolution de la guérison.

La réflexologie est une discipline d’entretien, elle saura donc vous accompagner face à cette pathologie. Si l’on ne fait rien, la lombalgie peut rapidement devenir chronique alors n’attendez pas et prenez soin de vous !

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Le syndrome de Morton et la réflexologie

Personne douleur au pied syndrome morton massage reflexologie

Le syndrome de Morton et la réflexologie

Le syndrome de Morton (névrome de Morton ou métatarsalgie) ou plus communément « un Morton » est connu depuis 1845 et décrit par Thomas Morton en 1876 comme une irritation/compression du nerf plantaire sensitif entre les 2ème, 3ème et 4ème espaces inter-métatarsiens.

Le plus souvent lié à une compression du nerf, la personne commence à ressentir des douleurs aiguës et fréquentes à l’avant du/des pied(s). En résumé, on connaît plutôt bien donc on va voir ensemble pourquoi cela peut se déclencher, quoi faire et comment la réflexologie peut vous accompagner.

Mais pourquoi ?

Les causes peuvent être diverses mais voici le top 3 :

  • Chaussures trop serrées (chaussures de ville « plus jolies que confortables », les chaussons d’escalade, les chaussures de ski)
  •  
  • Les talons (malheureusement mesdames 80% des cas de Morton sont chez la femme)
  •  
  • Les impacts ou microtraumatismes répétés (la course à pied entre autre)

On peut également noter qu’une déformation du pied de type Hallux Valgus, Griffe peut aussi entraîner un syndrome de Morton. Enfin le surpoids, dû au fait qu’il y ait plus de pression exercée sur le pied cela peut favoriser une compression du nerf.

Quoi faire ?

Selon le stade où vous en êtes (stade avancé est un névrome de Morton) vous aurez 2 traitements traditionnels possibles.

Tout d’abord le traitement médical qui consistera à bien identifier le syndrome de Morton puis en fonction, faire des semelles orthopédiques afin de diminuer les appuis sous l’espace inter-métatarsien et/ou faire des injections de corticoïdes.

Si par la suite, les douleurs sont toujours présentes alors le traitement chirurgical vous sera proposé.

La réflexologie et Morton ?

Que l’on parle de médical ou de chirurgical, la réflexologie va pouvoir être d’une grande aide dans les deux cas.

Lors de la séance de réflexologie, un travail de massages/pressions sera effectué afin de délier les articulations, les muscles et tendons des pieds et ainsi libérer la pression exercée sur le nerf. Nous compléterons avec les zones réflexes du système nerveux pour calmer les influx notamment pour les nocicepteurs (les capteurs de la douleur). Le système locomoteur (muscles et tendons) sera aussi travaillé car des tensions de répercussions vont se créer à cause de la mauvaise répartition du poids sur les 2 pieds.

La réflexologie peut également accompagner la personne avant et après son opération avec principalement les mêmes zones réflexes que pour le médical (système locomoteur encore plus déséquilibré après l’opération, stress généré par l’intervention etc…).

Nous ne sommes plus en 1876 alors prenez soin de vous et de vos pieds !

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Les coliques néphrétiques et la réflexologie

colique néphrétique et réflexologie

Les coliques néphrétiques et la réflexologie

Une colique néphrétique est due à l’obstruction plus ou moins complète de l’uretère, le canal reliant le rein à la vessie, par un calcul rénal. Cette pathologie fréquente touche 5 à 10% de la population dans les pays industrialisés et le taux de récidive est de 50% en l’absence de traitement.

Lorsque qu’une colique néphrétique se déclenche, les symptômes sont assez reconnaissables : une douleur brutale, rapidement intense et localisée dans le siège lombaire ou à l’angle costo-vertébral avec une irradiation vers la cuisse et les organes génitaux externes. Une agitation liée au fait qu’aucune positon ne soulage et des nausées/vomissements complètent le tout.

Un calcul ?

Le terme calcul rénal ou lithiase urinaire désigne le fait que des cristaux, le plus souvent d’oxalate de calcium, se sont agglomérés pour former une lithiase qui ressemble à un petit caillou. Les lithiases calciques (oxalocalciques) représentent 80% des cas, 10% sont des calculs d’acide urique (d’urate), 5% des calculs infectieux et le reste est rare.

Pourquoi cela arrive ?

Les calculs rénaux peuvent être malheureusement la conséquence d’une multitude de facteurs. Mais de nos jours, nous allons retrouver plus fréquemment 2 facteurs principaux qui sont le manque de dilution des urines et un régime alimentaire non adapté.

En effet, selon la composition de vos calculs certains aliments peuvent favoriser la création des lithiases. Dans un contexte où vos calculs sont principalement composés d’oxalate de calcium il faudra par exemple éviter de manger :

  • Trop protéiné 150 gr/jours
  • Thé / Bière / Vin Blanc
  • Cacao / Chocolat noir
  • Epinards / Blettes / Oseille / Betterave / Patate douce/ Brocolis
  • Trop salé
  • Les sucres rapides
  • Diminution de la prise d’alcool

Et privilégier les aliments riches en potassium comme :

  • Avocat / Concombre / Pomme de terre / Tomates / Poivron 
  • Banane / Abricot / Pruneaux
  • Jus d’agrume (citron, orange, pamplemousse)
  • Légumineuses

Pour l’hydratation il est préconisé de boire 2 litres par d’eau par 24h (cf. www.urofrance.org).

Un traitement ?

Je ne parlerai pas ici des différents médicaments qui peuvent être prescrits par un spécialiste pour limiter les coliques néphrétiques (pensez à consulter un néphrologue pour faire un bilan de lithiases). Concentrons nous sur ce que vous pouvez changer et comment la réflexologie peut vous aider.

Comme vous l’aurez compris, l’hydratation est le facteur numéro 1 donc buvez ! Ensuite l’alimentation doit être maitrisée pour éviter de se transformer en usine à calculs. Et enfin il faut entretenir la machine : la réflexologie permet de maintenir le bon fonctionnement du système urinaire et aide à l’élimination des déchets.

Lors de la séance de réflexologie nous travaillerons donc les zones réflexes de la vessie, l’uretère et les reins. Nous ferons également le système nerveux car en plus de calmer les nocicepteurs (récepteurs de la douleur), cela atténue les potentielles angoisses quotidiennes dues au douleurs ou à la peur d’une récidive.

En sachant que les coliques néphrétiques sont catégorisées comme une des pires douleurs chez l’être humain, n’attendez pas la récidive et prenez les devants ! 

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Syndrome du Canal Carpien et Réflexologie

Personne douleur au poignet syndrome canal carpien

Syndrome du Canal Carpien et Réflexologie

Aujourd’hui dans cet article, nous allons parler d’une pathologie qui touche plusieurs milliers de français chaque année à savoir le syndrome du canal carpien.

Il est reconnu que certaines personnes telles que les femmes enceintes ou ceux et celles atteints de diabète, d’arthrite, de kystes ou de la goutte ont des facteurs favorisant l’apparition du syndrome du canal carpien. Cependant la majorité des cas enregistrés sont dus au milieu professionnel où les mouvements répétitifs, les mouvements du poignet forcé en extension, un poignet mal positionné (ex clavier ordinateur) ou encore les vibrations provoquent l’apparition fréquente de cette pathologie.

Pour citer quelques exemples de métiers il y a les peintres, les dentistes, les secrétaires, les musiciens, les infographistes, les travailleurs manuels etc…

Pour mieux comprendre ce syndrome, il faut tout d’abord connaître le principal acteur de tout cela, le nerf médian. Il part du cou, passe sous notre aisselle puis descend dans l’intérieur de notre coude, passe l’avant-bras pour finir dans notre main afin d’assurer la sensibilité des pulpes (bout du doigt), principalement du pouce, de l’index et du majeur. Il permet également d’assurer l’innervation motrice des muscles du pouce.

Une fois que l’on sait cela, on peut se recentrer sur la zone du poignet car c’est là où tout se joue. A cet endroit se situe un « tunnel » appelé canal carpien où passe le fameux nerf médian ainsi que les tendons fléchisseurs des doigts. Lorsque ce tunnel se voit compressé cela va appuyer (pincer) le nerf médian qui va alors dysfonctionner.

Dès lors vous pouvez commencer à ressentir des symptômes tels que :

  • – Une sensibilité légèrement modifiée par alternance
  • – Fourmillements (paresthésie)
  • – Engourdissements
  • – Picotements au niveau du pouce, index, majeur
  • – Douleurs dans la main
  • – Douleurs ascendantes vers l’avant-bras
  • – Perte de force dans la main et/ou poignet

Les traitements communément pratiqués sont le repos et selon l’évolution, l’injection de corticoïdes voir parfois la chirurgie. En réflexologie nous mettons en place un protocole de séance afin d’agir sur toute la chaîne du nerf médian aussi bien en profondeur qu’en surface.

La séance de réflexologie est scindée en 2 parties avec une première partie plantaire puis une seconde partie palmaire.

Pour la partie plantaire nous travaillons sur la colonne vertébrale, le cou, les aisselles, les bras, les coudes, les avant-bras et les extrémités. Nous complétons avec le système nerveux pour les influx nerveux.

Pour la partie palmaire, nous faisons des massages (pression rotative) des doigts de la racine jusqu’aux extrémités, du 5ème métacarpien, de la paume de la main, du poignet, de l’avant-bras et enfin du coude.

Ces 2 étapes permettent de travailler en profondeur avec le plantaire et plus en surface avec le palmaire pour un relâchement des zones de passage du nerf médian.

Vous savez tout dorénavant sur le syndrome du canal carpien et la réflexologie alors si vous commencez à ressentir des symptômes, n’attendez pas. Plus vite nous travaillons dessus, plus il est simple de maîtriser l’évolution du syndrome. 

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Confinement, Réflexologie et Troubles musculaires

Confinement, Réflexologie et Troubles Musculaires

Dans ce 3ème et dernier article consacré aux troubles de l’organisme pendant le confinement, nous traiterons des TROUBLES MUSCULAIRES (Troubles musculo-squelettiques). Pourquoi apparaissent-ils et quelle séance fera t-on en réflexologie afin de les soulager.

Un des plus gros effets néfastes du confinement sur notre corps (personne en télétravail, chômage partiel ou simplement à la maison) est très certainement la sédentarité qu’il engendre.

On estime qu’en moyenne, un employé passe 5h30 de sa journée en position assise or avec le confinement on voit ce temps exploser à la hausse. Une position figée durant de longues périodes réduit la circulation sanguine (responsable de l’approvisionnement en oxygène) et naturellement, lorsque le sang circule mal, le corps s’oxygène également moins bien. Cela a pour effet de produire ce que l’on appelle « l’oxydation », elle-même responsable de dégradations avancées des cellules du corps.

A court terme, être trop souvent et trop longtemps assis/allongé provoque une multitude d’inconforts au quotidien :

  • Sensation de fatigue 
  • Difficultés de concentration
  • Douleurs musculaires
  • Douleurs articulaires

Ces maux sont appelés les TMS (Troubles musculo-squelettiques). Rapidement ils prennent de l’ampleur et l’on voit apparaitre de façon récurrente un mal de cou, un mal de dos, des douleurs dans les lombaires etc. 
Pour résumer, les TMS sont des pathologies mécaniques issues d’un dérèglement postural.

Enfin, rajoutez à tout cela une diminution du tonus musculaire accompagnée d’une fonte musculaire et vous obtenez le cocktail parfait pour des douleurs musculaires, articulaires, ligamentaires chroniques.

Lors de la séance de réflexologie, tout d’abord nous localiserons la ou les zone(s) douloureuse(s) pour ensuite travailler la zone réflexe en question mais également tout ce qui l’entoure. Par exemple lors d’un mal de cou, nous travaillerons toute la ceinture scapulaire (nuque, scalènes, trapèzes, rhomboïdes, épaules) et non juste le cou.

Notre corps est une très belle machine perfectionnée où tout est relié, mais quand un engrenage vient à dysfonctionner alors cette machine va essayer de continuer de répondre à nos demandes en forçant sur les autres engrenages et souvent on finit par une casse. N’attendez pas d’en arriver là et venez « réellement » vous détendre !

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Confinement, Réflexologie et Troubles du sommeil

Confinement, Réflexologie et Troubles du Sommeil

Dans ce 2ème volet consacré à la série d’articles « Confinement, Réflexologie et troubles de l’organisme », nous allons nous intéresser cette fois-ci aux TROUBLES DU SOMMEIL et en quoi la réflexologie peut-elle vous aider.

Mais tout d’abord, pourquoi est-il important de bien dormir ?

Un bon sommeil est indispensable dans la régénération profonde de notre organisme que cela soit au niveau physique (élimination des déchets du cerveau, os, tissus, muscles, élimination des toxines…), psychique (meilleure gestion du stress, mémorisation augmentée, meilleure gestion des tâches) et émotionnel (gestion des relations sociales). Il joue également un rôle important pour d’autres mécanismes tels que l’équilibre neuroendocrinien, immunitaire, digestion, etc… On peut donc facilement comprendre l’importance primordiale d’un bon sommeil.

Or, selon une étude de l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance, les troubles du sommeil toucheraient plus d’un français sur 3. Les raisons sont diverses : plus de stress au quotidien, toujours aller plus vite, moins de temps, moins de patience. Des habitudes qui font écho en chacun de vous. 

Partant de là, si vous amplifiez cet état avec 3 principaux facteurs que sont une actualité anxiogène (notre humeur et notre moral sont atteints par les incertitudes constantes de notre situation, par les médias qui délivrent le décompte des personnes décédées, etc…), une horloge biologique déréglée (entre le changement d’horaires et de luminosité dû à la période hivernale et la dérive de nos habitudes de vie, notre organisme est perdu) et la sédentarité (rester assis ou allongé toute la journée entraîne une chute de l’activité physique alors que d’après des études, l’exercice physique réduit l’état d’anxiété et la pratique régulière réduit quant à elle les traits d’anxiété. Le psychique est aussi atteint car moins d’interactions sociales et sans doute du désœuvrement), vous augmentez fortement et rapidement votre probabilité de développer des troubles du sommeil voir de les aggraver.

Quels sont donc les troubles principaux du sommeil que l’on peut noter ?

  • Difficultés d’endormissement
  • Réveils nocturnes fréquents
  • Réveil à une heure précise quasiment à chaque fois
  • Réveil précoce avec impossibilité de se rendormir
  • Cauchemars
  • Insomnies

Pour lutter contre les troubles du sommeil liés au confinement, nous allons en réflexologie, travailler dans un premier temps les zones réflexes de l’Hypophyse/Epiphyse (afin de booster la sécrétion de mélatonine), les glandes corticosurrénales (pour le Cortisol), le système nerveux central dans sa globalité (encéphale et ortho/parasympathique) et ensuite selon la personne nous pourrons compléter la séance avec par exemple du système musculaire (maux de dos liés à la sédentarité), l’estomac/rate (anxiétés) et les reins (angoisses).

Un bon moyen pour vous sentir en meilleure forme aussi bien moralement que physiquement. Alors n’hésitez pas !

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Confinement, Réflexologie et Troubles digestifs

Confinement, Réflexologie et Troubles digestifs

Avec l’arrivée de l’hiver, l’actualité anxiogène et le retour du confinement, vous l’aurez compris, votre esprit et votre corps vont continuer d’être mis à mal. En effet, si l’on réunit tous ces facteurs nous obtenons un stress ambiant et quotidien, un manque de luminosité, une sédentarité forcée, une alimentation perturbée et une horloge biologique déréglée.

Dans cette série d’articles sur le confinement et la réflexologie, nous verrons les principaux troubles qui peuvent apparaitre (troubles digestifs, musculaires, sommeil, psychologiques…) et par quels moyens la réflexologie peut-elle vous aider.

Dans ce premier article, nous allons nous pencher sur les TROUBLES DIGESTIFS pendant le confinement.

Les 2 facteurs principaux sont la sédentarité et une alimentation perturbée.

La sédentarité va entrainer une baisse de l’activité musculaire quotidienne donc une baisse de l’activité des muscles intestinaux (qui favorisent l’absorption des nutriments par l’intestin) ainsi que les muscles abdominaux (rôle important dans le bon fonctionnement général et l’évacuation des selles) donc directement lié à cela une baisse de l’activité digestive.

Si on additionne cela à une alimentation perturbée du fait du changement d’habitudes (de plus gros repas car plus de gens qui cuisinent, plus de grignotages à la maison etc.), on obtient forcément « quelques dysfonctionnements » du système digestif :

– Digestion lente ou difficile
– Constipation
– Diarrhées
– Mauvaise haleine
– Brûlures d’estomac
– Flatulences
– Régurgitations acides
– Troubles hépatiques
– Colites
– Vomissements

Pour lutter contre ces troubles digestifs pendant le confinement, on travaillera donc, en réflexologie, toutes les zones réflexes liées au système digestif complet à savoir la bouche, l’œsophage, l’estomac, le foie (et vésicule biliaire), le pancréas, l’intestin grêle, le colon, le rectum et l’anus.

C’est notre deuxième confinement alors ne faites pas les mêmes erreurs et anticipez ces désagréments. Votre corps et votre esprit vous diront merci !

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